Rôle économique & Histoire
lilleverts
Les pruniers de St Jean ont fait partie de la vie économique et de l’histoire du village …
Un vieux prunier de Saint-Jean est toujours visible dans le haut du jardin du 41, Général de Gaulle. Il avait été planté dans le jardin de Pierre Maillard, par Louis Maillard, son père. Agé de plus de 100 ans en 2006, il donne encore quelques lilleverts. Tout près du vieil arbre, des lilleverts plus jeunes et plus féconds donnent de savoureuses prunes.
Un vieux prunier de Saint-Jean est toujours visible dans le haut du jardin du 41, Général de Gaulle. Il avait été planté dans le jardin de Pierre Maillard, par Louis Maillard, son père. Agé de plus de 100 ans en 2006, il donne encore quelques lilleverts. Tout près du vieil arbre, des lilleverts plus jeunes et plus féconds donnent de savoureuses prunes.
Sauvegarde du patrimoine
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Tommy Mac Gill, au village d’Obrey, raconte qu’il a hérité des deux pruniers de Raymond Tesnière, du chemin du Pavé.
Avant la guerre de 1940 et un peu après, Denise Massin se rappelle avoir cueilli avec ses cousines des lilleverts pour en faire des confitures, conservées dans des bocaux. Durant la guerre, elles les faisaient sécher dans un séchoir pour en faire des pruneaux. La cueillette se faisait dans les pruniers du jardin de la Poste dans les champs situés sous la villa « Les Cadettes ».
Les lilleverts étaient très appréciés des Britanniques chez qui les fermiers les exportaient, par l’intermédiaire de bateaux du port de Granville. Ce commerce leur permettait de payer leur fermage.
Avant la guerre de 1940 et un peu après, Denise Massin se rappelle avoir cueilli avec ses cousines des lilleverts pour en faire des confitures, conservées dans des bocaux. Durant la guerre, elles les faisaient sécher dans un séchoir pour en faire des pruneaux. La cueillette se faisait dans les pruniers du jardin de la Poste dans les champs situés sous la villa « Les Cadettes ».
Les lilleverts étaient très appréciés des Britanniques chez qui les fermiers les exportaient, par l’intermédiaire de bateaux du port de Granville. Ce commerce leur permettait de payer leur fermage.
Faites revivre la prune Lilleverts en greffant
lilleverts
Une maladie a exterminé pratiquement tous les pruniers répandus dans le village et il était bien connu que le lillevert ne se greffait pas !!!!
Rien n’empêche d’essayer, il semble possible de prendre quelques greffons des lilleverts restants pour greffer des pruniers et commencer à réintroduire les lilleverts dans le village.
Pour greffer, adressez-vous à Tillard, à la ferme après le chemin qui mène chez Legentil, qui est un très bon greffeur, de même que Marie-Thérèse Touzé, de Dragey et Rémi Nouvel, de Saint-Jean-le-Thomas.
Toutefois, il vaut mieux faire confiance, comme c’était le cas, aux rejets qui poussent au pied des pruniers d’où peut espérer en disperser à nouveau dans le village. Il faut donc mobiliser les propriétaires de lilleverts !
Photos et texte de Louis Malle
Rien n’empêche d’essayer, il semble possible de prendre quelques greffons des lilleverts restants pour greffer des pruniers et commencer à réintroduire les lilleverts dans le village.
Pour greffer, adressez-vous à Tillard, à la ferme après le chemin qui mène chez Legentil, qui est un très bon greffeur, de même que Marie-Thérèse Touzé, de Dragey et Rémi Nouvel, de Saint-Jean-le-Thomas.
Toutefois, il vaut mieux faire confiance, comme c’était le cas, aux rejets qui poussent au pied des pruniers d’où peut espérer en disperser à nouveau dans le village. Il faut donc mobiliser les propriétaires de lilleverts !
Photos et texte de Louis Malle