Les pauwlonias de Saint-Jean-le-Thomas et environs
Tommy MacGill a planté deux paulownias dans sa propriété d’Obret, en bordure de la commune de Saint-Jean-le-Thomas. Lorsqu’il avait quitté son travail dans le XIIème arrondissement de Paris, un ami lui avait donné deux jeunes pieds de paulownias, survivants de la place d’Aligre, lorsque celle-ci était couverte de paulownias. Le paulownia semble d’ailleurs lié à l’histoire des communes libres de Paris.
Tommy MacGill a planté deux paulownias dans sa propriété d’Obret, en bordure de la commune de Saint-Jean-le-Thomas. Lorsqu’il avait quitté son travail dans le XIIème arrondissement de Paris, un ami lui avait donné deux jeunes pieds de paulownias, survivants de la place d’Aligre, lorsque celle-ci était couverte de paulownias. Le paulownia semble d’ailleurs lié à l’histoire des communes libres de Paris.
Il fleurit de fin avril à début mai. Ses fleurs ressemblent à de grosses trompettes violettes et émettent un parfum voisin de celui de la violette. Ses très grandes feuilles pouvant atteindre 40 cm n'apparaissent qu'au mois de juin.
Les deux jeunes exemplaires saint-jeannais de paulownias ont un grand frère planté près de l’église voisine de Carolles .
En Chine, les arbres impériaux sont recherchés pour leur bois.
Depuis l’an 2000, la commune de Saint-Jean-le-Thomas appartient à une paroisse placée sous le patronage des 119 martyrs de Chine canonisés avec l’enfant du pays, Auguste Chapdelaine. Avec les paulownias, le village, habitué à la mondialisation, dévoile de belles affinités avec la Chine.
Des gens de passage dans la baie de la Merveille de l’Occident indiquent que les paulownias sont assez répandus dans le Sud-Ouest de la France.