L'estran

Partie découverte entre la haute et la basse mer, l’estran est le lieu privilégié des algues brunes (fucus spiralés et fucus vésiculeux). Il est constitué de sable granitique lui-même formé de quartz, feldspath, micas, débris de coquillages.. Les laisses de mer jouent un rôle primordial dans la fixation du sable et la nidification des oiseaux (gravelots à collier interrompu). Y vivent aussi d'autres limicoles : bécasseaux, courlis qui se nourrissent dans les vasières.
La pêche dans la Baie

Elle se pratique de 2 façons :
En bateau : bar, lieu jaune, seiche, maquereau, mulet, araignée, sole, plie… et homard si c’est votre jour de chance !
A pied : palourdes, coques, crevettes, étrilles, couteaux, bigorneaux, huîtres et moules sauvages.
Les crépidules constituent une variété de coquillages invasifs et gênants à développement rapide.
Les moules de bouchot de la Baie bénéficient de l’appellation AOP depuis 2011. Elles se développent sur des pieux (les bouchots), en pleine mer, au Vivier-sur-Mer (face à vous), 1er centre de mytiliculture de France à ce jour.
En bateau : bar, lieu jaune, seiche, maquereau, mulet, araignée, sole, plie… et homard si c’est votre jour de chance !
A pied : palourdes, coques, crevettes, étrilles, couteaux, bigorneaux, huîtres et moules sauvages.
Les crépidules constituent une variété de coquillages invasifs et gênants à développement rapide.
Les moules de bouchot de la Baie bénéficient de l’appellation AOP depuis 2011. Elles se développent sur des pieux (les bouchots), en pleine mer, au Vivier-sur-Mer (face à vous), 1er centre de mytiliculture de France à ce jour.
La fangothérapie

Au début du XXe siècle, un projet de fangothérapie a été envisagé du fait de la présence importante de boues marines sur la grève : les bienfaits de l’application de boues sur les membres inférieurs ont été prouvés. Pour diverses raisons, le projet a été abandonné. Le savez-vous ? Le centre de thalassothérapie de Granville utilise les boues de la Baie pour ses cures thermales.
Textes : Michèle Kossorotoff
Textes : Michèle Kossorotoff